Novembre 2006
Publié le 29 Septembre 2008
C'est par un e-mail que j'ai manifesté à Michèle Delaunay mon désir de participer à sa campagne des législatives.
"Je veux faire partie de l'équipe qui battra Alain Juppé", lui avais-je écrit. Quelques semaines plus tard, j'ai été invité à participer à une réunion de préparation de la campagne qui a eu lieu à la brasserie la Concorde.
Nous étions ce jour-là une vingtaine de personnes. Tout s'est passé très vite dans une ambiance de fête foraine et nous nous sommes donné rendez-vous après les fêtes de fin d'année.
Suite à la pagaille de cette réunion, nous avons convenu qu'il fallait faire des réunions avec une équipe réduite capable de travailler ensemble.
En ce qui me concerne, j'aime les campagnes électorales. Pas n'importe lesquelles. Il faut qu'il y ait un challenge. Quelles soient difficiles. Je suis de ceux qui pensent que "seules les causes perdues méritent d'être défendues".
J'avais déjà fait campagne avec Michèle Delaunay en 2004 lors des législatives partielles suite à la condamnation d'Alain Juppé.
Alors, mes camarades socialistes ont été très contents de me voir arriver sur cette campagne. J'y reviendrai plus tard.
Dans l'antichambre de cette campagne, nous étions bien peu à croire que Michèle Delaunay pouvait gagner. Je ne m'explique pas pourquoi, mais depuis le début j'ai pensé que la fin pouvait être heureuse.
Même Michèle Delaunay ne semblait pas y croire. Bien sur, elle l'espérait. Certainement en secret. Sans jamais l'avouer pendant la campagne.
Nous avons donc respecté la trêve du chocolat et du foie gras et début janvier nous avons tenu notre véritable première réunion de campagne.
Mais il vous faut attendre le prochain épisode... Janvier 2007.
"Je veux faire partie de l'équipe qui battra Alain Juppé", lui avais-je écrit. Quelques semaines plus tard, j'ai été invité à participer à une réunion de préparation de la campagne qui a eu lieu à la brasserie la Concorde.
Nous étions ce jour-là une vingtaine de personnes. Tout s'est passé très vite dans une ambiance de fête foraine et nous nous sommes donné rendez-vous après les fêtes de fin d'année.
Suite à la pagaille de cette réunion, nous avons convenu qu'il fallait faire des réunions avec une équipe réduite capable de travailler ensemble.
En ce qui me concerne, j'aime les campagnes électorales. Pas n'importe lesquelles. Il faut qu'il y ait un challenge. Quelles soient difficiles. Je suis de ceux qui pensent que "seules les causes perdues méritent d'être défendues".
J'avais déjà fait campagne avec Michèle Delaunay en 2004 lors des législatives partielles suite à la condamnation d'Alain Juppé.
Alors, mes camarades socialistes ont été très contents de me voir arriver sur cette campagne. J'y reviendrai plus tard.
Dans l'antichambre de cette campagne, nous étions bien peu à croire que Michèle Delaunay pouvait gagner. Je ne m'explique pas pourquoi, mais depuis le début j'ai pensé que la fin pouvait être heureuse.
Même Michèle Delaunay ne semblait pas y croire. Bien sur, elle l'espérait. Certainement en secret. Sans jamais l'avouer pendant la campagne.
Nous avons donc respecté la trêve du chocolat et du foie gras et début janvier nous avons tenu notre véritable première réunion de campagne.
Mais il vous faut attendre le prochain épisode... Janvier 2007.